Pour de nombreux amateurs d'auberges de jeunesse, un séjour à Amsterdam est une expérience incontournable. Leurs raisons ? Une ville à taille humaine, des habitants aussi bienveillants que polyglottes, une scène culturelle à la pointe, des soirées parmi les plus cool d’Europe et un dynamisme qui n’a d’égal que son ouverture d’esprit. Résultat : la capitale hollandaise s’impose comme l’une des destinations préférées des backpackers en quête de rencontres et d’expériences mémorables. À une seule condition : trouver l’auberge de jeunesse qui correspond à leurs attentes. Car entre les quartiers, les types d’hébergements, les services proposés et les prix, choisir son hostel à Amsterdam relève parfois du casse-tête. Voici un guide complet pour t’aider à dénicher l’auberge idéale. Au programme : notre sélection des meilleures auberges de jeunesse à Amsterdam, un guide par quartier, des conseils pratiques et une tonne d’infos pour préparer ton séjour. Bon voyage !
Les meilleures auberges de jeunesse à Amsterdam : verdict express
Si tu penses qu’Amsterdam, c’est juste des vélos et des tulipes, prépare-toi à revoir ton manuel du baroudeur ! Voilà une ville qui respire l’esprit backpacker jusque dans ses briques du Centre-ville. Entre les canaux fantasques, le Red Light District qui n’a rien perdu de son panache, et la tolérance gravée dans l’ADN local, on est en plein laboratoire social pour voyageurs. Festivals urbains à gogo (à croire que c’est une religion ici), art de vivre relax même au cœur de la Grachtengordel : autant dire que le dortoir devient ton salon global !
Amsterdam, c’est le berceau du voyage débrouillard : autant dire que le dortoir devient ton salon global !
Un détail qui frise souvent la caricature : tu rencontres rarement autant d’horizons rassemblés dans un même salon-cuisine d’auberge ailleurs en Europe. Un jour c’est une soirée jeux avec un Japonais perdu, le lendemain un apéro-débat sur l’écologie avec des Brésiliens—eh oui, j’ai testé pour toi.
Top 3 incontournables : budget, ambiance et design
Hostel | Quartier | Prix/Nuit | Ambiance |
---|---|---|---|
Cityhub | Jordaan | €30 | Tech & convivial |
Ecomama | Grachtengordel West | €25 | Éco & chill |
Clink Noord | Noord | €20 | Fête & sociable |
- Cityhub: Borné sur le high-tech sans perdre l’humain; check-in autonome mais vraie ambiance partagée. Dommage pour la vue sur canal—tu peux t’asseoir dessus.
- Ecomama: Montre patte verte ou change de crèmerie. La déco, ça passe ou ça casse ; couchettes confort mais zéro place pour le snobisme.
- Clink Noord: Fiesta permanente et voisinage arty ; bruit garanti la nuit… Autant dire, c’est pas Disneyland du sommeil.
Prix moyens et astuces pour économiser
- Compare sur KAYAK avant de craquer ton budget pour un lit bancal.
- Sors ta plus belle adresse mail et abonne-toi aux newsletters officielles : il y a toujours un code promo planqué quelque part.
- L’annulation gratuite ? C’est ta carte joker (surtout hors haute saison où les prix dégringolent). Bref, plus flexible tu es, moins tu casques sur la nuitée.

Choisir son quartier à Amsterdam pour ton hostel
Ah, le casse-tête du quartier… À Amsterdam, le dilemme n'est pas juste "central ou excentré", c’est une vraie tambouille de vibes, prix et plans cachés que tu découvres vraiment quand t’as déjà posé ton sac. Allez, on fait le tri sans langue de bois.
Centrum et Grachtengordel : cœur historique et accès facile
Ici, c’est la carte postale mais avec les pieds dans la vraie vie. Loge dans le Centre ou la Grachtengordel (la fameuse ceinture des canaux) et tu peux toucher du doigt le Rijksmuseum, zieuter Van Gogh direct au petit matin, ou débarquer sur Leidseplein pour tester leur version locale de la nuit blanche. Les hostels autour t’offrent une base arrière ultra-logistique : tout se fait à vélo ou à pied—musées, coffee shops et marchés bio inclus. Niveau ambiance ? Ça brasse du monde H24 : alors forcément, si tu cherches l’âme d’un village planqué, passe ton chemin.

Jordaan et Plantage : ambiance bohème et écoresponsable
Tu veux casser le moule touristique ? File entre les ruelles du Jordaan ou installe-toi côté Plantage. Ici, ça fleure bon l’esprit local, les marchés vintage (Plantage en tient une bonne couche), et les cafés où le latté coûte plus cher que ta nuitée mais où tu croises tous les nouveaux activistes écolos du coin. Anecdote véridique : j’ai fini un soir à discuter permaculture chez Ecomama avec une Suédoise qui élevait des abeilles urbaines sur son balcon—Amsterdam ou rien !
L’Anne Frank House est littéralement à deux claquements de semelles du Jordaan ; et niveau auberges responsables, Ecomama fait figure de proue entre récup' arty et zéro-plastique assumé.
Pour découvrir l’âme d’Amsterdam sans tomber dans les clichés touristiques ni sacrifier tes principes écologiques, c’est ici que ça se passe.
Autres coins cool : De Pijp, Noord et Oost
Pour ceux qui veulent sortir des radars touristiques classiques — on attaque la face B d’Amsterdam…
- De Pijp : Albert Cuypmarkt à deux foulées pour ruiner ta diète sur les stroopwafels, petits bars indés où tu peux papoter avec des locaux ENFIN relax.
- Noord : Street art XXL (digne d’un open-air museum), Clink Noord pour arroser ta soirée façon warehouse party ; parfait si dormir n’est pas ton obsession première.
- Oost : Oosterpark pour digérer tes excès matinaux ; brunchs hallucinants qui dégomment les petits-dèj standards en hostel—autant dire qu’ici tu manges autre chose que la tartine molle industrielle.
Bref, chaque coin a sa gueule… mais aucun ne laisse indifférent. Faut juste oser bifurquer hors sentiers battus si tu veux te faire TON Amsterdam.
Types d’hébergement en auberge de jeunesse
Oublie la vieille rengaine du lit superposé déprimant : Amsterdam, c’est le labo des formats hybrides et insolites. Ici, chaque choix de couchette façonne ton trip, du social roots au cocon minimaliste.
Dortoirs classiques vs capsules privatives : duel serré
- Dortoir :
- Social à bloc (parfois TROP, surtout la nuit quand le mec du lit 14 ronfle comme un tracteur)
- Tarif imbattable (dès 18–20 € la nuit si tu te moques de l’intimité)
- Coin cuisine partagé pour papoter recette de nouilles chinoises… ou rater ton café avec brio.
- Capsule privative :
- Micro-cocon fermé — prise USB, vraie lumière de lecture, casier sécurisé (on sent le level japonais)
- Prix qui grimpe (souvent entre 28 et 40 € la case), mais sommeil respecté par tes voisins
- Parfait si tu rêves d’être sociable au petit-déj… puis fantôme discret la nuit !
Capsule = compromis ultime pour baroudeur : tu gardes le sel des rencontres sans sacrifier la paix mentale.
Boutique-hostel : design et panache dans le dortoir
Amsterdam ne fait pas dans la demi-mesure côté déco. Des adresses comme De Bedstee Boutique Capsule Hotel ou Generator Amsterdam mixent mur en briques et mobilier scandinave plus léché qu’un café branché d’Helsinki. Résultat ? Un vrai coup d’œil ET du confort : ambiance épurée, lumière naturelle omniprésente, espace pensé pour chiller sans se marcher dessus. Certains poussent l’originalité jusqu’à recycler une ancienne ferme ou un ex-bordel en temple du slow travel urbain (tu vois le genre !).

Party hostel vs havre de calme : match sans filtre
Amsterdam a inventé l’auberge qui ne dort jamais (coucou Clink Noord et The Bulldog). Là-bas, ambiance clubbing intégrée au tarif : musique jusqu’à pas d’heure et bar ouvert dès la tombée du soleil — oublie ta grasse mat’. Tu veux dormir VRAIMENT ? Cap sur Stayokay Oost ou les hostels de Plantage : clientèle plus âgée, couvre-feu sur le volume après minuit et parfois même dortoirs exclusivement « quiet zone ».
- Check rapide avant de booker :
- Isolement phonique indiqué sur les avis ?
- Moyenne d’âge affichée/ressentie supérieure à vingt-cinq ans ?
- Le bar ferme-t-il à une heure convenable ?
Bref, choisis selon ton niveau de tolérance au boucan… sinon prépare les boules Quies maison (testé-approuvé avec des mouchoirs roulés, mais c’est pas homologué OMS).
Services et équipements à ne pas zapper
Wifi et petit déjeuner gratuit : base non négociable
Parlons franchement : Wifi gratuit et petit-déjeuner inclus, c’est le strict minimum, peu importe l’âge de ton sac à dos. À Amsterdam, la plupart des hostels (ClinkCoco, The Globe Center) incluent le wifi dans toute la baraque—donc poster tes stories ou planifier ta balade au Rijksmuseum, pas de galère. Le vrai test, cependant ? Le fameux café sur place. Oui, même un café tiède, voire froid mais potable… c’est une question de survie pour tous ceux qui n’ont pas dormi cause coloc' ronfleur ou retour tardif.
Pour moi, un hostel sans bon café, c’est comme un canal sans cygnes, tu vois ?
Pas rare que petit-déj rime avec buffet minimaliste (pain industriel à volonté), mais trouve-moi juste ce mug correct pour croire à ta journée !
Espaces communs : coin café, terrasse et salles d’activités
L’âme d’un hostel ? C’est là où tu poses ton séant après 15 bornes de vélo : salon XXL, tables partagées pour coworking ou poker improvisé. Les espaces bien pensés te font passer du statut touriste paumé à celui de local d’un soir. Quelques spots sortent du lot : terrasses panoramiques sur les canaux (Stayokay Oost), coins cafés ouverts sur la rue (Flying Pig Downtown) et salles d’activités pour soirées quiz ou jam session—testée, ambiance garantie !
Espace | Usage | Avantage |
---|---|---|
Coin café | Rencontres matinales | Gratuit |
Terrasse | Apéro canal | Vues photogéniques |
Salle de jeux | Soirées | Ambiance locale |

Annulation gratuite et flexibilité : ta bouée de sauvetage
Tu réserves hors saison parce que tu veux payer moins cher ? OK… mais le climat batave peut retourner ton programme en deux heures. Beaucoup d’hostels sérieux (Bulldog Hostel, a&o Zuidoost) proposent une annulation gratos jusqu’à 72h avant minuit—autant dire que garder la main sur ton budget ET ta liberté n’a jamais été aussi simple. Bref : plus t’es flexible, moins tu risques de rager sur un imprévu météo ou changement de mood.
Conseils pratiques pour réserver et séjourner
On ne va pas tourner autour du pot : à Amsterdam, la règle d’or c’est l’anticipation. Tu veux un lit près de Leidseplein en plein Juillet ? Bonne chance si tu bookes à la dernière minute…
Quand réserver pour choper le meilleur tarif
- Printemps-été : réserve ton hostel 2 à 3 mois à l’avance, minimum. La saison des festivals débarque, ça flambe côté prix et tout est blindé du Vondelpark aux canaux. Même hors-saison, hésite pas à checker les calendriers d’événements locaux : marathon, gay pride ou Fête du Roi — c’est jackpot niveau files d’attente et tarifs qui s’envolent.
- Bons plans : compare sur KAYAK pour éviter de te faire plumer sur une chambre douteuse. Si tu peux viser novembre-février (hors gros évènements), tu gagnes tranquille 20% sur la note.
- À fuir : Booking dans la panique lors d’un week-end férié national.
Astuces pour dépenser moins
- Réserve hors saison ou en semaine : c’est là que les prix font grise mine.
- Compare TOUJOURS plusieurs plateformes (KAYAK inclus) avant de cliquer sur « payer ».
- Scrute les événements locaux qui font grimper la facture.
Dénicher promos et codes de réduction sans s’arracher les cheveux
- Newsletter des hostels : abonne-toi direct (genre VIA Amsterdam balance souvent -10% via mail).
- Influenceurs urbains & pages Facebook : certains postent régulièrement des liens de parrainage ou codes exclusifs (Hostelworld fait des campagnes flash).
- Réseaux sociaux & alertes promos : crée-toi une vraie alerte sur Insta—pas juste stalker les chats voyageur !
- Comparateurs last minute : parfois tu chopes une nuitée bradée à force de refresh frénétique sur Hostelworld ou Booking.
Checklist anti-pigeon :
- [ ] Inscription newsletter hostel préféré
- [ ] Suivi pages sociales et groupes deals backpackers NL/Europe
- [ ] Utilisation comparateur last-minute avant tout paiement
- [ ] Demander un code direct au staff (osé mais déjà testé… parfois ça passe)
Check-in, check-out et vie communautaire : le B.A.-BA du respect en dortoir
Si tu choisis la vie en communauté, il y a quelques règles essentielles à respecter, même à Amsterdam où tout semble permis.
- Silence radio après 22h, surtout si t’es pas seul en dortoir (sauf si t’es au Clink Noord un samedi soir… là c’est chacun pour soi).
- Range ton barda dans le casier, pas façon vide-grenier sur le sol commun.
- Douches express : laisse de l’eau chaude aux suivants et évite le remake aquatique après minuit !
- Respecte le rythme du check-out : on te regardera de travers si tu traînes ta carcasse jusqu’à midi passé alors que c’est noté « out by 10am ». Anecdote vécue : un Australien s’est fait sortir manu militari du Stayokay Oost parce qu’il tentait la sieste post-checkout – ambiance !
En résumé, adopte une attitude respectueuse et collective pour éviter les regards désapprobateurs des locaux.