On te le disait récemment, le Musée Grévin est sans doute l’une des expériences les plus insolites qu’offre Paris. Entre son théâtre à l’italienne, son Palais des Mirages, ses 200 statues de cire et ses mises en scène immersives, le musée s’impose comme un incontournable absolu. Et pourtant, on a trouvé encore mieux. Comment ? En t’offrant un bon plan inédit qui te permettra de visiter le musée aux horaires les plus tranquilles — et avec -10% sur ton billet. La marche à suivre dans l’article ↓
Une expérience unique au cœur de Paris : le Musée Grévin
Une immersion dès les premiers pas
Tu penses avoir tout vu à Paris ? Attends d’avoir risqué ta dignité et ta vie sur un escabeau brinquebalant au Musée Grévin. Oui, j’ai bien failli m’étaler dans un couloir sombre pour vérifier ce que même les guides évitent de murmurer : un passage secret, vestige direct de la Prison du Temple, planqué derrière des moulures douteuses. Autant dire que j’ai failli terminer en chutant… mais quel récit ! Ce musée dépasse le simple selfie avec Céline Dion en cire : c’est une immersion dans les mythes parisiens, parfois jusque sous le plancher.
Le Grévin n’est pas une simple galerie figée : c’est un lieu d’exploration où chaque recoin peut révéler une surprise.
L’histoire fascinante du Musée Grévin : de sa fondation à aujourd’hui
Le Musée Grévin ne doit rien à personne. Enfin si, à deux types assez visionnaires : Arthur Meyer, cerveau du journal Le Gaulois en 1882 (le mec avait flairé le filon façon Madame Tussaud mais version parisienne), et Alfred Grévin, caricaturiste officiel et modeleur de génie prêt à mouler tout ce qui bougeait dans le Tout-Paris. Aujourd’hui sous pavillon Compagnie des Alpes, Grévin & Cie continue à faire défiler ministres et starlettes.
- 1882 : Fondation par Arthur Meyer pour donner corps aux figures qui faisaient la une avant même l’invention du ciné (oui, zéro stories Insta à l’époque).
- Alfred Grévin : Premier directeur artistique – le gars qui donnait vie en cire aux potins mondains.
- Première personnalité exposée : Voltaire (autant dire qu’ils n’ont pas commencé par du petit joueur).
L’attraction immersive du Théâtre Grévin et du Palais des Mirages
On ne va pas se mentir : si tu zappes le Théâtre Grévin ou le Palais des Mirages lors de ta visite, autant rester devant Netflix. Ces deux curiosités valent leur pesant d’or kitsch.
Palais des Mirages – le kaléidoscope géant qui explose tes rétines :
- Salle créée pour l’Exposition universelle de 1900 – ambiance psychédélique garantie, rien à voir avec tes miroirs Ikea.
- Système d’illusions optiques digne d’un magicien sous acide, où tu perds totalement la notion d’espace (et parfois ton groupe).
- Effet « waouh » validé même par les blasés – multiplication infinie des reflets jusqu’à saturation rétinienne.
Théâtre Grévin – plus show-off que l’Opéra Garnier pour les initiés :
- Décors Belle Époque authentiques qui feraient pleurer un décorateur Netflix.
- Programmation éclectique : one-man shows, concerts classiques… il y a même eu des séances « concert à la bougie » (ambiance Tinder premium assurée).
- Intimité unique avec la scène ; t’as vraiment la sensation de toucher les costumes sans te faire engueuler par un placier.
Bref, tu vois : au Grévin on ne vient pas seulement poser devant Angelina Jolie en plastique, on se tape aussi une virée sensorielle rétrofuturiste dans l’histoire parisienne. Et si t’as peur de t’ennuyer ou que tu crois avoir déjà tout vu… alors vraiment, tu n’as jamais mis les pieds derrière ses coulisses.
Billets, tarifs et astuces pour éviter la file
Tarifs officiels : plein, réduit, gratuité <5 ans
Si tu veux vraiment savoir combien va te coûter ton selfie avec Einstein en cire (et pas juste fantasmer sur des réductions bidon), voici la réalité brute :
Type de billet | Prix plein | Prix réduit* | Gratuité |
---|---|---|---|
Adulte (19 ans et +) | 26€ | 22€** | Non |
Enfant (5 à 18 ans) | 19,50€ | - | Non |
Moins de 5 ans | - | - | Oui |
Famille (4 pers min.) | ≈19,50€/pers | - | Non |
*ENTITÉ : tarif réduit Grévin – réservé aux séniors, étudiants, demandeurs d’emploi, bénéficiaires de minima sociaux et PMR sur justificatif uniquement à la caisse.
** La réalité ? Le billet coupe-file acheté en ligne peut revenir moins cher qu’un "réduit" acheté sur place…
Le Grévin privilégie l’efficacité : pour éviter les files d’attente, mieux vaut réserver en ligne.
Réserver en ligne : l’astuce pour gagner du temps
L’astuce ? Réserve ton billet coupe-file en ligne. Tu évites la file (et l’humiliation publique d’attendre sous la pluie du 9e arrondissement). Plusieurs plateformes officielles font le job : le site du Musée Grévin, ou via Ceetiz/ParisGourmand si tu aimes collectionner les mails de confirmation inutiles.
- Paiement sécurisé, créneau garanti ; accès prioritaire même pendant les heures de pointe !
- Pas besoin d’imprimer – ton smartphone suffit pour flasher le QR code à l’entrée.
- Possibilité d’utiliser certains codes promo pour gratter quelques euros (mais faut être rapide).
Après avoir testé les deux options, il est clair que le billet coupe-file est la solution idéale pour éviter les files d’attente.
Les meilleurs horaires pour une visite en toute tranquillité
Tu veux éviter les selfies collés/serrés entre deux groupes scolaires surexcités ? Privilégie ces créneaux où tu auras presque l’impression d’avoir privatisé les passages couverts voisins :
- 10:00 un mardi ou mercredi matin (hors vacances) – calme plat assuré.
- 17:00 en semaine avant fermeture – personne n’aime stresser pour sortir !
- Nocturne spéciale : tous les premiers samedis du mois, entrée dès 19h30 jusqu’à minuit (dernière entrée à 23h), ambiance troublante garantie dans tout le 9e…
- Dimanche matin dès l’ouverture (9h30 l’hiver), pendant que Paris digère sa soirée.
Tu vois, il suffit juste d’un peu d’organisation et de lucidité (pas trop non plus hein) pour profiter du musée sans finir bousculé. Avec un peu d’organisation, il est possible de profiter pleinement de l’expérience Grévin.
Comment venir au Musée Grévin ?
Comment accéder facilement au Musée Grévin
Pour ceux qui croient que trouver le Musée Grévin c’est comme résoudre un escape game, détrompe-toi. Même un GPS fatigué ne peut pas te perdre sur ce coup.
Checklist express — arriver sans finir sur le trottoir d’en face :
1. Descends à la station Grands Boulevards (lignes 8 ou 9). Sors côté « Boulevard Montmartre/Musée Grévin » – ne suis pas la foule sinon tu te retrouves direct boulevard des Capucines, c’est joli mais complètement à l’ouest du musée.
2. Marche tout droit 50 mètres sur le Boulevard Montmartre. Les affiches criardes du théâtre et la façade rococo du musée te sautent littéralement à la figure (autant dire, impossible de les rater).
3. Traverse vers l’entrée principale – pile sous les grandes lettres dorées, entre deux vitrines nostalgiques.
Astuce de pro : Si tu es allergique aux transports bondés, vise la station Bourse (ligne 3), tu as alors droit à une mini-balade piétonne rue Vivienne puis passage des Panoramas. Ambiance vieille pierre garantie, et zéro touriste jusqu’à l’entrée.
En bus et à pied depuis les passages couverts
Qui a dit que Paris se découvre uniquement en métro ? Le réseau de bus a quelques perles pour les flâneurs et fuyards de la pluie (ou des couloirs nauséabonds du métro).
Lignes de bus proches et leur efficacité réelle :
- 74 : Arrêt « Richelieu-Drouot » — tu débarques à moins de 4 minutes à pied du musée. Parfait pour ceux qui font semblant de lire dans le bus !
- 20 : Arrêt « Grands Boulevards » — là aussi tu descends au bon endroit, c’est presque trop facile.
- 85 : Idéal si tu viens du centre ou des Halles ; arrêt « Réaumur-Montmartre », compte maximum 7 minutes de marche relax.
Si jamais Paris se décide à pleuvoir à l’horizontale (ce qui arrive une semaine sur deux), tire profit du passage de l’Opéra directement relié au boulevard Montmartre. Tu peux traverser quasi tout sec sous les verrières Belle Époque – autant joindre l’utile à l’insolite avant même d’avoir payé ton billet d’entrée.
Stationnement et conseils pour les vélos
Peut-on s’approcher du Grévin façon champion du Tour sur son vélo ? Oui… enfin si tu acceptes le challenge neuro-musculaire qu’est la circulation parisienne.

Parking vélo & zones payantes:
- Plusieurs stations Vélib' sont dispos autour du musée, dont une planquée juste rue Montmartre (tu comprendras vite pourquoi elle est rarement vide…)
- Les arceaux sécurisés foisonnent rue Vivienne ou devant les banques du quartier – laisse ton bolide là au lieu de jouer au funambule sur le boulevard principal.
- Attention zone ultra-payante et contrôlée toutes les demi-heures par des ASVP zélés ; oublie direct le "je tente ma chance en double file" sauf si t’as envie d’une photo souvenir avec une amende collector !
🚲 Note vélo | 🚲🚲🚲🚲 |
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Entre parkings payants et circulation dense, mieux vaut bien planifier son trajet à vélo pour une arrivée sereine. Tu vois, même arriver chez Grévin c'est déjà une aventure parisienne en soi.
Ce qui vous attend lors de votre visite
Durée moyenne : 1h30 – gestion du temps
Ne sois pas dupe, au Grévin, on ne traîne pas comme dans un vide-grenier provincial. La durée moyenne de la visite, c’est 1h30 – ni plus, ni moins si tu veux absorber l’essentiel sans finir momifié comme les statues. Pour te prouver que je ne sors pas ça d’un chapeau à paillettes, voici mon itinéraire chronométré pour affronter le musée comme un vrai Parisien (pressé mais lucide) :
Horodatage | Zone | À faire |
---|---|---|
0-30 min | Histoire de France | Croiser Louis XIV, Jeanne d’Arc, Robespierre... S’imprégner des vrais « dramas » nationaux |
30-60 min | Stars internationales | Einstein, Michael Jackson, Léna Situations… Oui oui, tout ce bazar bling-bling en cire |
60-90 min | Extras & coulisses | Ton selfie gênant avec un footballeur « mort-vivant » et immersion dans les recoins chelous |
Si vous dépassez ces timings, c’est probablement parce que vous vous êtes attardé devant une statue ou que vous explorez chaque détail avec minutie.
Les univers à ne pas manquer : Histoire, célébrités et stars internationales
Le Grévin n’est pas un catalogue Ikea de la célébrité : chaque zone a son lot d’allusions grinçantes et de figures historiques qu’on n’oserait jamais croiser ailleurs.
- Histoire de France : Tu te retrouves nez à nez avec Louis XIV qui n’a rien perdu de son melon royal, Jeanne d’Arc sortie tout droit d’une imagerie surannée (autant dire qu’elle tient mieux debout ici qu’au bûcher), ou encore Robespierre qui aurait pu tordre le bras d’un prof d’histoire-géo par sa seule présence statufiée.
- People & Stars internationales : Einstein tire toujours la tronche devant ses équations muettes. Michael Jackson est là aussi – version Moonwalk figée mais ambiance frissons garantis. Sans oublier Léna Situations ou Kylian Mbappé qui posent pour leurs followers fantômes.
Préparez-vous à une expérience unique où les statues semblent presque vivantes dans leur silence.
Les secrets du Musée Grévin : entre curiosités et anecdotes
Tu crois que les coulisses du Grévin sentent juste la cire chaude ? Raté. Derrière certaines portes (quasi introuvables sauf si comme moi tu tripotes les moulures à la recherche d’un passage), c’était autrefois le cabinet de curiosités d’un certain Jules Talrich – un anatomiste-mouleur dont la réputation oscillait entre génie excentrique et obsession névrotique pour les chairs moulées.

Talrich aurait laissé quelques notes codées – autant dire que leur traduction relève plus du casse-tête que d’une dictée CM2. Pour te donner une idée du mystère ambiant :
Fragment codé | Hypothèse de traduction |
---|---|
"V7.X+R14" | Mélange acide-cire pour modelage rapide? |
"N.Q/π = visage D." | Proportion dorée appliquée aux visages? |
"Bleu > Jaune < Nuit" | Allusion à la lumière idéale nocturne |
Autant dire qu’on nage entre ésotérisme anatomique et pur délire cryptique. Mais c’est ce qui rend le lieu fascinant : tu sens presque la présence des anciens modeleurs veillant jalousement sur leurs secrets…
Résumé clé : Le Grévin version backstage est plus proche d’un laboratoire occulte que d’une usine à selfies. Prends le risque de chercher les indices – tu pourrais tomber sur bien plus qu’une simple star en cire !
Les personnalités en cire à ne pas manquer
Figures historiques incontournables
Même sans être féru d’histoire, difficile de passer devant Louis XIV, Jeanne d’Arc ou Robespierre sans hausser un sourcil (voire deux). Le Musée Grévin leur a sculpté des allures si… délicatement exagérées qu’on hésite entre révérence et fou rire poli. Autant dire, ils tiennent leur rang, mais la cire fait parfois des miracles qu’aucun chirurgien n’oserait promettre.
- Louis XIV
- Perruque volumineuse à te filer le complexe capillaire
- Pose main sur hanche façon « je domine le monde »
- Costume saturé d’or, clinquant au possible
- Jeanne d’Arc
- Armure rutilante (presque plus propre que dans les manuels scolaires)
- Regard halluciné de conviction (ou de lassitude éternelle, mystère)
- Cheveux mi-longs bien lissés – la cendre du bûcher, absente !
- Maximilien de Robespierre
- Veste boutonnée jusqu’au menton (syndrome col serré garanti)
- Expression sévère type « j’accuse » permanente
- Main crispée sur un parchemin révolutionnaire — on sent l’ambiance soupesée…

Stars modernes et internationaux
Léna Situations vient d’avoir sa statue flambant neuve au Grévin – la deuxième personnalité Internet à rejoindre la clique, excuse du peu. Michael Jackson, lui, se fige éternellement en plein Moonwalk sous le projecteur pop. Gandhi complète ce trio improbable : lunettes rondes imperturbables et charisme zen même en cire. D’un point de vue réalisme ? Franchement bluffant… autant dire que croiser Léna en vrai ou en silicone, l’erreur est possible (à part le silence glaçant). Mon verdict visuel :
Léna Situations | Michael Jackson | Gandhi |
---|---|---|
⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ |

Le niveau de détail donne parfois envie de vérifier si ce n’est pas la vraie personne qui attend là pour piéger les visiteurs distraits. Bref, tu es prévenu.
Curiosités et nouveautés exclusives
Passons aux têtes qui font débat… Cyril Hanouna a désormais son double figé au Grévin : sourire carnassier et accessoires télé bien placés (manquerait plus qu’il s’anime pour te balancer une vanne). Alfred Hitchcock veille aussi dans un coin feutré : ambiance suspense garantie rien qu’à croiser son œil fureteur. Et question nouveautés ? Cette année c’est festival ! Retrouve :
- Aurélien Giraud, champion du monde de skateboard, fraîchement cloné en février 2024.
- Astérix & Obélix, version pop-culture revisitée (autant dire que ça change des Gaulois poussiéreux).
- Clara Luciani, star montante qui rejoint la galerie avec un look taillé pour le prime-time Instagram.

Chaque visite au musée réserve son lot de surprises, avec des découvertes inattendues qui marquent les esprits.
Conseils pratiques pour une visite réussie
Accessibilité PMR et familles avec enfants
Autant te dire que Grévin a enfin compris que laisser des visiteurs en galère devant une marche, c’est dépassé. Depuis la rénovation de 2001, le musée joue la carte du tout-accessible pour les personnes en fauteuil roulant. Repérage express : imagine-toi débarquer depuis Palais-Royal, même les pavés ne te feront pas peur !
Check-list accessibilité :
- Accès principal sans escalier, rampe adaptée façon "entrée présidentielle".
- Ascenseurs intérieurs entre tous les niveaux (si tu rates l’ascenseur, c’est vraiment pas de chance).
- Toilettes PMR accessibles au rez-de-chaussée – propres (enfin souvent) et sans codes débiles à retenir.
- Tarif réduit sur présentation d’un justificatif ; accompagnateur gratuit reconnu (pas besoin d’un dossier administratif façon Kafka…).
Pour les familles : poussette acceptée sauf modèle tracteur XXL, personnel formé à l’accueil enfants (et parents stressés), espace change planqué mais présent.
Photographie et limitations (flash, selfie sticks…)
Alors là, prépare-toi : le Grévin adore tes photos Instagram mais déteste tout ce qui pourrait transformer le musée en studio improvisé.
Ce qu’on ne peut pas faire :
1. Interdiction de flash – tu veux fondre une starlette en cire ou quoi ? Les flashes sont bannis partout dans le parcours.
2. Pas de selfie stick – non seulement tu passes pour un touriste mais en plus c’est direct interdit par sécurité et respect des œuvres (et des voisins!).
3. Trépieds pros refusés – vrai test vécu : mon trépied vibrait un chouïa trop fort devant Einstein, j’ai eu droit à un rappel à l’ordre sec comme un verdict. Tu rêves d’un shooting pro ? Passe ton chemin ou négocie avec la com’ du musée…
Profitez de votre visite pour capturer des souvenirs, mais en respectant les règles de photographie du musée.
Meilleure période et créneaux à privilégier dans le 9e arrondissement
Si tu veux tenter l’expérience quasi solo dans le temple de la cire (et pas marcher sur les baskets d’un groupe scolaire), vise ces créneaux miracles :
- Novembre à mars hors vacances scolaires : Paris se gèle dehors mais dedans c’est calme olympien – même le quartier Palais-Royal/9e ronronne mollement.
- Jours de semaine hors mercredi, idéalement mardi ou jeudi matin dès l’ouverture (10h). L’affluence est ridicule et t’auras presque chaque statue pour toi tout seul.
- Pause-déjeuner (12h30–14h30) : Eh oui, pendant que Paris s’agite autour d’une salade fade dans le 9e, tu peux flâner tranquille entre Louis XIV et Mbappé sans te faire bousculer.
Bref, évite week-ends/vacances scolaires si t’as des nerfs fragiles ! Tu vois, y’a vraiment moyen de profiter du lieu version VIP… ou presque.
Prêt pour une visite inoubliable au Musée Grévin ?

Pourquoi le Musée Grévin mérite votre visite
Tu hésites encore ? T’attends une énième validation TripAdvisor pleine de smileys bidons pour te décider ? Mauvais calcul ! Je t’invite franchement à troquer ton portable contre ton plus beau mug de café cabossé (ouais, l’ustensile officiel du vrai curieux urbain) et à pousser la porte du Musée Grévin. Pourquoi ? Parce que c’est LE spot où tu peux croiser Gandhi, Léna Situations, Michael Jackson et le fantôme d’un modeleur névrosé dans la même matinée – sans payer l’entrée de quatre musées différents. Et puis franchement, personne ne parle assez de ce frisson quand tu titilles les moulures suspectes en guettant le passage secret…
Les avis sont clairs : malgré quelques râleurs bloqués dans la file ou grognons sur l’affluence (bienvenue à Paris), tout le monde ressort bluffé par l’expérience. C’est le genre d’endroit qui réussit à être kitsch ET fascinant – et crois-moi, c’est rare. Tu auras droit au Palais des Mirages façon trip optique géant, au silence glacial des statues qui te font relativiser sur ta petite vie bruyante… et au suspens permanent : vais-je trouver ce foutu passage secret ou me faire flasher par un Hanouna en veille ?
Si vous hésitiez encore, c’est le moment de réserver votre place et de découvrir ce lieu unique qui mêle histoire, art et mystère. T’auras peut-être pas la réponse à tous les mystères du musée mais au moins tu ne pourras pas dire que Gaétan ne t’avait pas prévenu… autant dire, il faudra bien un jour oser franchir cette fichue porte dorée.