On t’a préparé l’itinéraire parfait pour un week-end à Paris. Si bien que tu risques d’y prendre goût. Avec 2 jours d’activités, de visites et d’adresses. À une seule condition : ne surtout pas rater le chapo (bientôt) la ville la plus détestée du monde. On t’explique. Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor) Simultanément publié dans (sponsor)
Répondre à la question : Que faire un week-end à Paris ?
Si tu crois qu’un week-end à Paris, c’est mission impossible, j’te rassure tout de suite : t’es pas le premier à te faire avoir par ce genre de rumeur urbaine. Deux jours dans la capitale ? Autant dire que tu vas carburer au café noir et avaler plus de pavés que de macarons. Mais, franchement, ça se tente – et ça se vit !
« Paris en 48h, c’est un shot de culture et de croissants, tu vois »
Le scénario est simple mais costaud : tu débarques le vendredi soir (ou presque réveillé le samedi matin), prêt à en découdre avec l’incontournable. Flâneries sur les Champs-Élysées, badigeonner tes pompes au Marais, claquer un selfie sous la Dame de Fer ou encore zieuter l’ambiance sur les quais… Bref, impossible de tout voir mais y’a moyen d’en prendre plein les mirettes.
L’approche pyramide inversée : l’essentiel dès maintenant
Pas le temps pour la dentelle : tu veux l’essentiel direct dans ta besace. Voilà pourquoi je déroule la méthode pyramide inversée – une sorte d’anti-balade où tu tapes d’abord dans le gros lot avant les chemins buissonniers. Au menu ?
- Monuments en version speed dating (Tour Eiffel, Louvre, Montmartre)
- Balades à grignoter (Seine, jardins planqués)
- Cafés paumés et ambiances qui collent au bitume
- Vrais tips pour zapper les arnaques touristiques
Lis la suite si t’as envie d’un itinéraire aussi efficace que ton expresso du matin – ou si t’as juste marre des guides qui tournent autour du pot.
Déambuler dans les lieux incontournables en 2 jours
Le cliché voudrait que je te balance direct un plan "musée, selfie, crêpe", mais je préfère t’embarquer dans l’itinéraire qui fait grimacer les mollets et sourire le soir venu. Si tu veux du costaud — du genre à te faire lever les yeux ET les sourcils, suis le guide.
Tour Eiffel, Champ-de-Mars et croisière sur la Seine : mode récit d’aventure
Descends à Trocadéro (ligne 6 ou 9), sors côté parvis – hop, photo obligatoire face à la Dame de Fer (si tu veux vraiment faire râler tes collègues lundi). Pour grimper fissa : prends ton billet en avance, coupe-file conseillé si tu ne veux pas vieillir dans la file. La vue ? Oui, toujours aussi spectaculaire, même après des siècles de touristes ébahis.
Après redescente (tu peux checker tes mollets : ils existent toujours ?), cap sur une pause pique-nique improvisée sur le Champ-de-Mars. Un fromage dégoulinant et une baguette qui craque sous la dent font largement l’affaire pour se sentir Parisien d’un jour. Tu verras, ici tout le monde se mélange : grand-mères avec chihuahua ou étudiants en goguette…
Ensuite ? File voir les Bateaux Mouches au Quai du Port de la Bourdonnais. Croisière d’1h sous les ponts de Paris. Un bon truc à raconter à la maison ("non maman, j’ai pas sauté dans la Seine !"). Impossible de faire plus carte postale mais franchement… c’est kiffant.
Louvre, musée d’Orsay et Sainte-Chapelle : marathon pour yeux affûtés
Faut aimer marcher ET regarder (les deux en même temps sinon c’est perdu). On attaque par le Louvre : vise l’entrée Richelieu côté rue de Rivoli (moins blindé que la pyramide). Fonce voir la Joconde (mais mate surtout La Liberté guidant le peuple ou Les Noces de Cana si tu veux éviter la horde des perches à selfies). Pas plus d’1h30, sinon tu risques l’overdose.
Traverse ensuite le Pont des Arts direction musée d’Orsay. Ici, ce sont les impressionnistes qui t’en collent plein la vue – Monet, Van Gogh, etc. Perso, je m’arrête toujours devant "La Nuit étoilée", histoire de me rappeler qu’on peut peindre sans Google Maps.
Enfin, direction l’île de la Cité pour Sainte-Chapelle (astuce : réserve ton créneau horaire !), vitraux hallucinogènes garantis même sans avoir bu d’absinthe.
| Monument | Durée conseillée | Astuce anti-foule |
|---|---|---|
| Louvre | 1h30 | Entrée Richelieu + matin tôt |
| Musée d'Orsay | 1h | Billet coupe-file + fin aprèm |
| Sainte-Chapelle | 45 min | Réservation horaire impérative |
Coup de pouce : Le Pass Musées peut t’éviter quelques sueurs froides aux guichets !
Montmartre et Sacré-Cœur : romance pavée & croquis volé
Fin de journée ? Monte jusqu’à Montmartre quand le soleil tape moins fort sur ta nuque. Démarre square Louise Michel puis attaque les escaliers du funiculaire si t’as encore du jus (sinon, triche !). Laisse tomber Google Maps ici — perds-toi dans les ruelles pentues entre vignes cachées et murs tagués.
Arrivé au sommet : Sacré-Cœur, vue panoramique et musiciens foireux mais attachants.
Reste un secret à vivre comme un vrai flâneur nocturne : laisse-toi traîner sur la place du Tertre. Les touristes sont partis digérer ; seuls restent les artistes qui esquissent ton portrait en trois coups de crayon malicieux — parfois flatteur, parfois cruel… Tu repars avec un souvenir unique pour épater ta belle-mère ou tapisser tes toilettes !
S’offrir des expériences insolites et hors des sentiers battus
Bistrot paumé et café de quartier : ton premier repère « local »
Autant te prévenir : la vraie vie, la râleuse, la tiède, celle qui sent le vieux comptoir et le saucisson sec, ne s’invite jamais dans un resto étoilé. Non, elle t’attend peinarde dans un bistrot planqué entre Oberkampf et Belleville – genre là où les serveurs te tutoient avant même que t’aies commandé. Pousse la porte du Qasti Bistrot (205 Rue Saint-Maur, Paris 10e) ou débusque Le Baratin (3 Rue Jouye-Rouve, Paris 20e), sanctuaires du pinard honnête et de la blague posée sur zinc.
Ici, la déco n’a rien d’instagrammable : banquettes râpées, tabourets qui couinent et patron qui fait fumer sa clope en douce sur le pas de porte. Autour d’un verre de rouge à prix humain (rare à Paris !), ça papote politique ou PEL avec le même accent fatigué. On cause foot, on gueule parfois — mais c’est le folklore. Si t’es du genre allergique au snobisme branchouille, tu touches enfin au Graal de l’authentique.
Street-art à Belleville et Butte-aux-Cailles : fresques vivantes à chaque coin
Rien de plus jouissif qu’un mini-safari street-art en mode piéton râleur. Les murs de Belleville et Butte-aux-Cailles sont une galerie à ciel ouvert — mais sans touristes en bermuda qui bloquent la vue. Pour faire ton malin-e devant tes potes :
- Le mur de la rue Dénoyez (20e) – véritable musée sauvage à chaque saison.
- Le pignon du 36 rue de la Butte-aux-Cailles (13e) – fief des artistes Miss.Tic et Jef Aérosol.
- Angle rue Laurence Savart/rue Lemon (20e) – tags mutants méconnus mais incontournables.
- Passage Desnoyers (20e) – ça change toutes les semaines : va savoir ce que tu trouveras.
- Rue Henri Noguères (19e) – marathon de fresques XXL sous rails SNCF.
Une fois j’ai croisé un type qui retouchait son pochoir sous les yeux d’une mamie en bigoudis — ambiance surréaliste garantie…
Visite guidée « underground » d’un souterrain oublié
Tu veux suer un bon coup ? Tente une descente dans le Paris noir des souterrains (pas juste les Catacombes pour touristes). Oublie les plans sages : ici on sort la lampe frontale et on écoute des guides borderline raconter comment des résistants ou des fêtards clandestins ont prolongé la nuit sous nos pompes. Beaucoup se font via guides privés "urbex", souvent repérés bouche-à-oreille ou sur Paris ZigZag.
On parle tunnels poussiéreux, stations fantômes du métro ou anciennes carrières bourrées d’histoires troubles — pas franchement aseptisé tout ça ! Mais alors, quel shoot d’adrénaline… Tu ressors crotté mais avec l’impression d’avoir touché au vrai mythe urbain parisien !
Se restaurer comme un vrai Parisien
Cantines de quartier : du falafel du Marais au bistrot rive gauche
Si tu veux goûter à la vraie tambouille parisienne, oublie les napperons et vise la rue : la Rue des Rosiers dans le Marais, c’est l’arène du falafel. Ici, c’est la guerre des pois chiches – L’As du Fallafel (34 Rue des Rosiers, Paris 4e) balance son pita garni pour 8,50 €, sauce piquante ou non, à toi de voir si t’as le palais joueur. Plus posé mais tout aussi copieux : Chez H’anna (54 Rue des Rosiers), ambiance familiale et file d’attente qui te fait réviser tes classiques sur le trottoir. Les légumes croquent, la sauce dégouline ; autant dire que t’en mets partout.
Puis traverse la Seine côté Rive Gauche, direction Bacav’ (10 Rue de la Grande Chaumière, Paris 6e), bistrot vivant où ça cause fort autour d’un bœuf bourguignon à 16€ ou d’un verre nature. Tu passes du bain de foule cosmopolite à l’entre-soi littéraire sans cligner des yeux. Bref, fais-toi un duel « pita contre cocotte » – ton estomac décidera.
🍕🍟🌯 (3/5 falafels)
Brunch endiablé chez l’hôte du canal Saint-Martin
Le canal Saint-Martin, c’est le spot où les brunchs poussent plus vite que les barbes chez les hipsters. Pour pas te ruiner : Tiger Milk (13 Quai de Valmy, Paris 10e), ambiance banquette vintage et playlist vinyle qui gratte doucement sous les verres embués. Œufs bénédictine nappés de hollandaise maison, avocado toast XXL et jus pressé minute pour 19 €. Ça rigole fort dès midi, la serveuse tatouée oublie parfois ta commande mais se rattrape avec un clin d’œil.
Anecdote ? Un dimanche matin pluvieux (classique), j’ai fini à discuter cinéma indé avec deux inconnus pendant qu’un gamin dessinait sur ma serviette en papier. L’adresse parfaite pour comprendre que le vrai brunch parisien s’improvise toujours un peu.
Bar à vins et fromages pour finir en beauté
Tu crois avoir tout goûté ? Raté ! Le grand final se joue dans une cave planquée : Mr Alphonse (8 Rue de la Folie Méricourt, Paris 11e). Ici pas de chichis : planches de fromages AOP taillées sur mesure (7-15 € suivant appétit), vins nature qui sentent bon la ferme, murs en pierres et tabourets bancals – autant dire que tes papilles vont faire la foire.
La clientèle ? Locaux bavards et étudiants fauchés venus taper la cloche sans posture mondaine. Demande « l’accord surprise » du patron : si t’es sage il sortira peut-être une tomme introuvable ou un Saint-Nectaire coulant…
Conseils pratiques et logistique pour optimiser ton week-end
Te voilà au cœur du casse-tête logistique : Paris, ses transports cahin-caha, ses auberges qui sentent le vécu et l’angoisse de la drache soudaine. Il y a de quoi devenir pointilleux – mais justement, c’est là que tu vas scorer.
Choisir transports : Navigo week-end vs VTC alternatifs
Le Navigo semaine fait le job pour te balader en illimité sur métro, bus, RER (35,40 € pour 7 jours, mais il existe une version Week-End à 8,65€ la journée ou 20,10€ pour deux jours consécutifs – oui l’arnaque du siècle si tu dors chez tata !). Côté VTC (Uber & cie), laisse-moi rire : le moindre trajet intramuros flirte avec les 15-25 €, et je parle même pas des tarifs multipliés par deux sous la pluie ou la nuit. Pour aérer tes mollets et frimer écolo : choppe un Vélib’ (1ère demi-heure à 1 €, bornes partout – sauf quand tu en cherches une où il reste un vélo…).
| Transport | Coût/Trajet | Rapidité | Astuce |
|---|---|---|---|
| Navigo Week-End | ~10€/jour illimité | ★★★ | Recharge vendredi soir direct en borne SNCF |
| VTC Uber/Bolt | 18-30 € centre | ★★ | Prévois large si bouchon ou pluie |
| Vélib’ | 1-3 €/30min | ★★ | Petit panier pratique pour ton croissant |
Sélectionner un hébergement loin de l’usine à touristes
Oublie Saint-Michel et Opéra, vise plus rusé : Bastille, Belleville ou Ménilmontant sont les QG des parigots sans filtre ni prix qui explosent le SMIC. Adresses malines : Les Piaules (59 boulevard de Belleville) style hostel cool & rooftop ; B&B Hôtel Paris Bastille (11 rue Moreau), sobre sans être sinistre. Le bonus dans ces coins ? Métro à pied, ambiance vraie Paris (galeries d’art moches comprises) et cafés ouverts jusqu’à la fermeture.
Checklist anti-mauvaises surprises :
- Vérifier distance métro (à moins de 400 m sinon galère assurée)
- Petit-déj inclus, sinon boulangerie à portée de pyjama
- Ambiance : éviter les usines à groupes scolaires…
Plan B pluie et orage : musées confidentiels & cafés chaleureux
Voilà ta fausse bonne intuition n°2 : un orage surprise = passe-droit moral pour snober les foules et te réfugier au Musée Rodin (79 Rue de Varenne), chef d’œuvre planqué dans son jardin ou au Petit Palais (avenue Winston Churchill) — rien que l’entrée gratuite te fera sourire sous la capuche. Plus snob encore ? Le Musée Zadkine près du Luxembourg ou l’étrange Musée des Egouts (si t’as pas peur de mouiller ta Stan Smith). Entre deux averses² file recharger ta batterie humaine au Café Loustic (40 Rue Chapon) ou Au Chat Ivre (7 rue René Boulanger), canapés défoncés et chocolat chaud trop épais.
Prolonger l’expérience : idées d’escapades aux alentours
Tu veux sortir du bocal parisien mais pas finir dans un car de retraités en route pour le Mont Saint-Michel ? Voilà trois escapades qui claquent et qui s’avalent sans indigestion touristique. Franchement, quitte à être à Paris, autant se dégourdir les guibolles hors du périph’ – c’est presque une question d’honneur.
Courir à Versailles express et flâner au Potager du Roi
Montre en main, c’est RER C direction Versailles Château Rive Gauche (35 min de gare d’Austerlitz) puis 10 petites minutes de marche, histoire de t’imaginer marquis sur les pavés. Plutôt que de faire la course avec les groupes pressés devant le château, je te conseille direct le Potager du Roi : là, entre arbres fruitiers taillés à la serpe et vieux légumes oubliés par Deliveroo, tu respires l’histoire vraie. Les outils rouillés racontent l’époque où l’on savait bosser la terre sans Insta. Ambiance contemplative garantie : tu vois l’époque Louis XIV défiler (autant dire que j’ai adoré la perspective XVIIIe – ça fait du bien de ne pas croiser la Joconde tous les trois mètres).
Balade en barque à l’Île-Saint-Denis
Envie d’un slow travel urbain ? Loue une barque ou grimpe dans un petit bateau au départ du canal Saint-Denis devant le 6B. Ici, c’est silence radio : reflets des immeubles sur l’eau, lignes douces du méandre, quelques hérons planqués sous les saules… Tu oublies Paris et ses klaxons pour glisser entre passé industriel et nature discrète. Un conseil : embarque tôt ou tard, c’est là que le canal se métamorphose en havre poétique – même si ton rameur galère un peu sur les virages.
Weekend en France : top idées d’escapades nature
Tu veux tester autre chose qu’un parc sur bitume ? File voir Weekend en France : top idées d’escapades nature, romantiques, pas chères ou en famille — franchement t’auras plus vite fait de te ressourcer là-bas qu’au rayon bio d’un Monoprix parisien.
