Week-end à Londres : itinéraire et conseils pour un séjour parfait

Que tu sois déjà venu ou non, on parie que ces 3 jours à Londres seront les plus fous que tu aies vécus dans la capitale britannique. On s’est occupé de tout : un itinéraire aux petits oignons, des bons plans à la pelle, et une tonne de conseils pratiques pour en profiter à fond. Prépare-toi à explorer une ville vibrante et accessible en moins de 2h30 depuis Paris. Prends nos 2 jours, ajoute une troisième journée pour un week-end mémorable.

Essentiel : ton itinéraire condensé pour un week-end à Londres

Voilà, tu débarques à Londres et, entre la brume et les pigeons plus dégourdis que des cyclistes du dimanche, tu veux voir du lourd sans perdre une minute. T’inquiète : j’ai roulé mes guêtres dans chaque recoin, je te balance le B-A-BA, sec comme un toast anglais.

Jour 1 : immersion monumentale (Big Ben, Westminster, London Eye)

Tu veux démarrer fort ? Commence ta journée dès l'aube pour profiter pleinement des lieux. Big Ben qui sort de la brume – magique pour les selfies (et sans filtre moche !). Arrive avant 8h30 : pas un touriste à l’horizon, juste les taxis noirs qui bâillent et deux ou trois joggeurs égarés. File ensuite vers l’Abbaye de Westminster, pile quand ça ouvre (9h30). L’architectural show met une claque même si t’as vu le Sacré-Cœur bourré deux fois.

Ensuite hop, traversée de Westminster Bridge – attention aux bus rouges qui tracent comme des sangliers effarouchés – et te voilà devant le London Eye. Réserve ton ticket coupe-file pour la première rotation (10h), sinon c’est file d’attente digne d’une distribution de camemberts gratuits en Normandie.

Astuce : le top pour relier ces spots ? Oublie Google Maps, tu prends la ruelle derrière St Stephen’s Tavern (personne n’y va), ça t’économise cinq feux rouges et deux poussettes coincées.

Temps de visite & astuces behind-the-scenes :
- Big Ben : 15 min dehors (interdit dedans), selfié direct sous l’angle sud.
- Abbaye de Westminster : 1h à 1h30 max. Achète billet à l’avance sur leur site officiel.
- London Eye : 45 min avec embarquement compris. Vise la première heure (moins cher!).
- N'oublie pas de capturer une photo sous la pluie pour saisir l'authentique ambiance londonienne.

Jour 2 : quartiers pittoresques (Notting Hill, Portobello Road, Camden)

Laisse tomber les circuits balisés et promène-toi comme si t’avais perdu ta boussole. Tu sors à Notting Hill Gate, direction Lancaster Road pour te sentir acteur réchauffé d’une comédie anglaise…

Continue vers Portobello Road Market : couleurs pastel et antiquaires qui vendent tout sauf ce dont t’as besoin. Arrive avant 10h le samedi matin pour éviter la foule compacte.

Ensuite, direction Camden pour une ambiance punk rock authentique – tatouages artisanaux et friperies chargées d'histoire t'y attendent.

Prends le temps d'explorer les stands et d'échanger avec les vendeurs au style unique. Anecdote véridique : j’ai négocié un vieux vinyle Clash contre… trois chewing-gums à la menthe ultra forte – autant dire que tout peut arriver dans ces coins-là !

Bonus Jour 3 : culture pop et Harry Potter (Warner Bros, King’s Cross)

Pour les fans, c'est une expérience incontournable. Pour Warner Bros Studio Tour (“The Making of Harry Potter”), faut réserver plusieurs semaines avant sur leur site officiel – sinon tu peux rester sur le quai comme Harry sans billet Express… C’est à Leavesden donc prévois large niveau transport (45 min depuis Euston).

À King’s Cross Station t’auras droit au chariot magique du quai 9¾ – mais prépare-toi à patienter pour la fameuse photo baclée par un sorcier stagiaire.

Là-bas tu touches du doigt les décors originaux : salle commune des Gryffondor, Potions dans tous les coins et costumes tordus comme des fish & chips oubliés au comptoir.

Si tu croises un cosplayeur Ron roux fluo… non ce n’est pas moi ! Mais j’avoue avoir tenté la cape dans le métro retour – personne n’a bronché. Vraiment personne.

Comment rejoindre Londres rapidement et malin

Honnêtement, prendre l'avion pour Londres n'est pas toujours le choix le plus rapide.

Eurostar vs avion : comparatif temps et budget

Tableau express, sans pincettes, pour te remettre les idées en place — parce que passer la frontière de l’Union Européenne, c’est pas juste une formalité tamponnée au sourire !

*Oui, l’Eurostar t’arrive direct centre-ville (Saint-Pancras), zéro navette foireuse. L’avion ? Entre Roissy ou Orly et Gatwick/Luton/Stansted, faut rajouter le bus ou train citadin – autant dire tu perds la moitié de ta jeunesse sur les quais.

Astuce billet pas cher : bons plans trains et promos

Tu veux vraiment voyager à prix d’ami ? Va falloir ruser comme un vieux renard des gares. Voici cinq filons qui ne paient pas de mine :

• Surveille le site officiel eurostar.com pour les ventes flash et offres partenaires.
• Active la newsletter Eurostar : ils balancent parfois des codes promos introuvables ailleurs.
• Checke SNCF Connect (et son onglet "bons plans") : parfois une promo planquée entre deux TER.
• Utilise Kelbillet pour comparer les prix — et pourquoi pas dégoter un billet revendu en dernière minute ?
• Réserve 5-6 mois à l’avance si tu peux prévoir ta vie si loin ; sinon guette les ouvertures calendrier, c’est là que ça part à -50%.

Acheter au dernier moment peut coûter cher, mieux vaut planifier à l'avance.

Transports ouverts 24h/24 : Night Tube, Uber Boat, Tootbus

Pour profiter de Londres la nuit sans encombre, voici quelques options pratiques :

Night Tube : fonctionne toute la nuit le vendredi et samedi sur Central, Jubilee, Northern, Piccadilly & Victoria lines. Passage toutes les 10 min (faut pas rater l’arrêt quand même).
Uber Boat by Thames Clippers : rotations toutes les 20 min sur la Tamise jusqu’à minuit (voire plus en weekend). Vingt bateaux / vingt-trois quais — presque aussi efficace que mon flair dans Soho.
Tootbus Night Tour : départs Coventry Street dès la tombée du jour jusqu’à 22h30 environ. Idéal pour voir Big Ben s’allumer… mais faut aimer le vent dans le nez !

Où loger pour être au cœur du tumulte londonien

Soho & Covent Garden : l’animation à deux pas

Tu veux de l’accès express aux théâtres, bars où la bière se paie au centilitre et magasins qui te vident le porte-monnaie ? Soho claque fort – pile entre Piccadilly Circus et Covent Garden. Le Ridgemount Hotel, planqué à deux stations du cirque infernal, propose un charme british quasi muséal (ah les moquettes fleuries !). Un cran plus chic : The Henrietta Hotel sur Covent Garden, déco rétro-funky et vue sur le marché couvert.

• Avantages couple : tout faire à pied, spectacles à gogo, shopping non-stop.
• Avantages solo : bars ouverts jusqu’à pas d’heure, rencontres improbables à chaque coin de rue.
• Inconvénients : prix qui piquent (surtout week-end), bruit nocturne – autant dire oublie la grasse matinée…

Shoreditch & Camden : street-art et vibe underground

Envie de dormir là où les murs racontent leur vie en graffiti ? Shoreditch c’est l’adresse fatale pour les insomniaques branchés. L’art’otel London Hoxton balance œuvres murales jusque dans les ascenseurs ! Pour l’aventure vraiment roots : Generator Hostel Camden – chambres avec vue sur les rails et tags XXL, voisinage direct avec le chaos créatif de Camden Town.

Options éco : auberges et B&B typiques

Le budget ric-rac ? Va voir du côté du Sohostel (Soho) ou Phoenix Hostel près de Regent’s Park. Chambres dès 25-35£/nuit en dortoir, draps propres mais déco façon salle des gardes 1968. Pour ceux qui veulent l’ambiance tea-time sans y laisser une chemise : B&B familiaux dans Bayswater ou Paddington autour de 50-60£/nuit la double. Astuce : demande toujours le petit-déj’ anglais… même si les haricots à 8h du mat’, ça reste une épreuve pour le palais français averti.

Manger & trinquer : les pubs et restos qui dépotent

Laisse tomber la bouffe aseptisée des aéroports, ici tu vas boire, croquer, et t’en mettre plein les moustaches – promis, pas de pub à touristes en vue.

Pubs historiques : ambiance British à l’ancienne

Si t’as pas mis un pied au Ye Olde Mitre (Holborn), t’as raté ta carrière de troquetophile. Depuis 1546, ce repaire classé crache ses "real ales" et tartines maison dans un décor boisé où même un Yeoman Warder s’assiérait sans rouspéter. Un vrai labyrinthe de salons sombres à boiseries, banquettes fatiguées et cuivre patinés… Tu veux le grand frisson ? Commande une pinte sous la lumière ambrée du bar, imagine Nelson refaire le monde avec Shakespeare – ambiance garantie mieux qu’un TikTok viral. 🍻 4.5/5 pour l’ambiance et la pinte à prix juste

Autant dire : ici tu dégustes la tradition sans chichis ni playlists insupportables. Si l’histoire du pub te laisse froid, va donc ailleurs chercher des cocktails chimiques.

Food halls & marchés : Seven Dials, Borough Market, Arcade Food Hall

Tu veux du choix ? Prends tes deux mains et fonce dans ces halls gourmands ! À Borough Market, ça sent la street food qui envoie : saucisses grillées sous la pluie, fromages anglais puants (dans le bon sens) et pâtisseries qui collent aux doigts. Seven Dials Market balance 20 stands côté Thomas Neal's Warehouse – cuisine fusion à tous les étages et ambiance joyeuse façon "marché des potes affamés". Arcade Food Hall (Tottenham Court Road) sort le combo gagnant : kiosques thaïs upstairs (j’y reviens), burger coréen downstairs, bières pression partout.

ton ventre va pleurer… mais de bonheur !

Pépites du terroir : Plaza Khao Geng et petits bouis-bouis

Fais-moi confiance : tu veux vraiment te faire surprendre ? Monte direct chez Plaza Khao Gaeng (Arcade Food Hall – 103-105 New Oxford St). C’est là que t’embarques pour le sud de la Thaïlande sans billet retour : déco carrelage rétro façon échoppe asiatique de gare routière – tables serrées, serveurs au taquet; curry jaune pimenté, riz jasmin brûlant… Ça réveille même après une nuit dans un pub historique ! Pour choper l’adresse locale improbable : pose-toi chez Roti King (Euston), minuscule mais mythique pour ses roti canai dégoulinants sauce curry; ambiance cantine bruyante où personne ne juge ton adresse avec les doigts.

Si après cela ton estomac n'est pas conquis, il est peut-être temps de revoir tes goûts culinaires. Tu vois ?!

Activités originales et hors des sentiers battus

Ici, c’est pas le moment de faire du surgelé touristique. Si tu veux rentrer à la maison avec une vraie histoire à cracher au comptoir, voilà trois plans qui te feront passer pour un londonien du cru (ou un clochard chic, selon ton style).

Croisière “Uber Boat by Thames Clippers” et panoramas

Monte à bord sans minauder: tu réserves ton billet sur l’appli Uber ou Thames Clippers, hop, tu descends sur n’importe lequel des 24 quais de la Tamise (sérieux, y’en a même trop). Le bon itinéraire pour les gros yeux ? Prends la ligne RB1 entre London Eye et Greenwich :

• Départ conseillé : London Eye/Waterloo Pier (vue satellite sur la grande roue direct dans ta rétine)
• Westminster Pier : Parliament vu d’en bas, ça calme
• Tower Pier : Tu passes devant la Tour de Londres — royal !
• Canary Wharf : Forêt de tours et banquiers en déroute
• Greenwich Pier : Arrivée finale, skyline qui fracasse les photos

Bref, chaque arrêt mérite sa story Insta sous bruine — le vrai filtre UK.

Balade verte : Greenwich, Hyde Park et Queen’s Walk

Faut souffler entre deux pintes ? Voilà un parcours chlorophylle qui tape fort :

• Entrée par Hyde Park côté Marble Arch: pelouses nickel chrome.
• La Serpentine : photo obligatoire du lac – ou tenté la brasse si t’as froid aux yeux.
• Speaker’s Corner : attrape un débat public qui part en cacahuète.
• Direction Queen’s Walk : longe la Tamise jusqu’à ce que tes baskets couinent.
• Arrivée à Greenwich Park : vise l’Observatoire pour LA vue. Si tu veux frimer en rentrant, pose-toi au méridien zéro — cliché assuré.

Street-art tour à Shoreditch et graffiti guides

À Shoreditch c’est simple : chaque mur est une fresque qui vit plus longtemps que certaines carrières politiques. Mon flair ? Va chez "Shoreditch Street Art Tours" avec le boss David – ce type connaît l’histoire du moindre autocollant collé de travers. Pour ramener ta dose de clichés sans te faire planter comme un bleu :

Checklist spécial graffeurs distraits:
- Repère une fresque signée Ben Eine ou ROA (ça fait genre t’y connais)
- Prends ton cliché sans flash (les couleurs bavent sinon)
- Jette un œil aux coins cachés derrière Brick Lane pour les œuvres qui s’effacent en une nuit
- Ose le selfie devant le lapin géant ou les portraits déformés façon miroir de fête foraine
- Demande au guide l’histoire du spot ; évite d’inventer: ici tout le monde a déjà entendu l’anecdote du "Banksy raté"…

Conseils pratiques pour éviter les galères

Londres n'est pas une ville où l'improvisation est toujours payante, mieux vaut être préparé. On va faire dans l’ultra-efficace, pas dans l’à-peu-près !

Application Citymapper et astuces métro/tube

Citymapper est un outil indispensable pour naviguer efficacement dans Londres. Tu mets ton point de départ, ton arrivée… et là, boum : il te sort l’itinéraire où tu marches moins de 3 minutes, où t’es sûr d’éviter les correspondances absurdes (genre traverser Oxford Circus en heure de pointe — faut aimer le rugby). Citymapper te signale direct les lignes fermées ou saturées et te propose même des alternatives bus/vélo/rail si le Tube fait grève (et crois-moi, ça arrive plus souvent qu’un rayon de soleil sur Big Ben).

Réserver billets coupe-file (Tower of London, British Museum)

Si tu veux éviter la queue à rallonge façon sortie d’école sous la flotte : réserve tes billets dès que t’as calé ta date. L’idéal ? Matinée dès ouverture ou créneau tardif : moins de groupes scolaires et guides hurlants. Voici trois plateformes qui font le job sans entourloupe :
- Site officiel Tower of London – Historic Royal Palaces
- London Tickets pour British Museum & visites guidées prioritaires
- Ceetiz pour visites en français avec accès prioritaire
Astuce : évite les revendeurs inconnus ou les sites « trop beaux pour être chers » — y’a déjà assez d’arnaques à Londres comme ça.

Changer de livrets : budget change, pourboires, timing

Le taux de change ? Surtout pas à l’aéroport ! Privilégie les retraits DAB Barclays ou Lloyds en centre-ville (meilleur taux réel). En gros 1€ ~ £0.84 (mais vérifie avant chaque départ). Essaie d’éviter les bureaux qui prennent plus de commissions qu’un agent immobilier du 16e…
Pourboires ? Dans les pubs/restos, laisse 10% si ce n’est pas déjà ajouté au ticket (« service charge » discret !). Pour taxis ou coiffeur : arrondi à la livre supérieure – inutile de jouer au grand seigneur vu le prix du croque-monsieur.
Anecdote : un jour j’ai payé deux fois par erreur car j’avais mal lu la devise… Tu vois, même vieux briscard je me fais avoir sur un sandwich triangle !

Ton London souvenir : ramener l’improbable

Ramener un mug Union Jack ou des magnets moches, tu oublies : le vrai souvenir de Londres, c’est du décalé pur jus qui sent la pluie et l’esprit frondeur. Si tu veux épater la galerie (ou voir tes potes jaloux), pioche là-dedans, parole d’explorateur urbain.

Shopping alternatif : Columbia Road et boutiques vintages

Columbia Road, c’est pas que des fleurs : c’est surtout la planque à trouvailles pour les amoureux de vintage. Trois adresses immanquables pour dégoter du rétro qui envoie :

- Vintage Heaven : bibelots des années 70, vaisselle kitsch parfaite pour le tea-time de ta grand-tante (ou ton Insta).
- Beyond Retro : fripes pointues, pulls moches assumés et Levi’s élimés – t’y croises souvent des stylistes en maraude.
- Suck and Chew : bonbons old school, gadgets pop-culture et vieilles boîtes à jouets anglaises.

Objets phares à dénicher :
- Appareil photo argentique chiné
- Cuir vintage écaillé au vécu douteux
- Broche Art déco oubliée dans un tiroir depuis 1956

Souvenirs décalés : chewing-gum art, porte-clé Yeoman Warder

Là on rigole plus. Qui ramène une toile peinte… sur un vieux chewing-gum collé par terre ? Seuls les vrais savent. Direction Millennium Bridge pour voir les œuvres minuscules de Ben Wilson alias "Chewing Gum Man". Et si t’aimes les bibelots chelous, pousse jusqu’à la boutique de la Tour de Londres choper LE porte-clé Beefeater officiellement ridicule (compte £5-8 pièce).

Checklist spécial objets insolites :
- Photo d’un chewing-gum peint façon tableau secret (prix : zéro mais vaut cher en anecdote)
- Porte-clé Yeoman Warder (Beefeater) costume rouge pétant (£5)
- Badge "Mind the Gap" détourné à Camden (£3)

Food gifts : sachets de thé de niche et sauces artisanales

Ramener le goût du pays dans ta valise ? Priorité aux trucs qu’on trouve pas chez Monop’ ! Deux marques locales sortent du lot :

- Postcard Teas : thés ultra sourcés, mélanges confidentiels. Boutique minuscule près d’Oxford Circus ; sachet dès £11 – mais là t’épates même les snobs.
- London Borough of Jam : pots de sauces pimentées/marmelades artisanales faites main tout droit sorties du labo punk-chic à Hackney (sauces autour de £7). Vendu direct en boutique ou dans quelques épiceries fines indé.
Si ces souvenirs-là te déçoivent… autant rester coincé en duty free sous néon !

Cap sur Londres sans perdre une seconde

« Même sous la brume, chaque goutte de pluie à Londres se transforme en selfie légendaire ! »

Prépare tes bagages, réserve ton transport et n'oublie pas ton parapluie ! Pluie ou soleil, chaque moment à Londres est une opportunité unique, et les nuits se terminent souvent dans un pub mémorable. Bref, Londres n’attend pas le touriste du dimanche… viens jouer dans la cour des grands !